mardi 24 août 2010

Sabra-Chatila



Sabra-Chatila- un massacre en trop


Les 15/17 septembre sera l’anniversaire
de Sabra et Chatila,
un massacre de plus, un massacre de trop.

Il y a 26 ans les forces phalangistes libanaises massacraient près de trois mille civils palestiniens pendant deux jours, du 15 au 17 septembre 1982 au sud Beyrouth. Les phalanges libanaises sous commandement de l’armée israélienne et sous tutelle du sinistre Général, à l’époque commandant et Ministre de la défense Ariel Sharon, Israël commit une fois de plus, peut-être même, une fois de trop un massacre.



Tout comme le nettoyage ethnique de la Palestine, ce massacre,  passe, d’année en année inaperçu ou presque. Comparaison n’est pas raison à juste titre, cependant il me semble que les commémorations du WTC, où finalement le nombre victimes est comparable, sont soit disproportionnées et tentent à cacher l’utilisation qui en a été faite ou alors le massacre de Sabra et Chatila est tout simplement nié pour ce qu’il pourrait signifier.



Depuis 26 ans, une chape de plomb s’est abattue sur cet épisode peu glorieux de l’armée israélienne au Liban, ternissant sa réputation au point de mettre à mal la perception de l’opinion internationale à l’égard d’Israël.
Hormis le rapport Kahanna de la commission d’enquête israélienne et le bouleversant témoignage de l’écrivain français Jean Genêt « quatre heures à Chatila » consigné à l’automne 1983 dans la Revue d’Etudes Palestiniennes, aucune œuvre de l’esprit, pas plus un film, qu’un documentaire, qu’un récit historique, pas plus qu’un « roman-enquête » n’est venue éclairer cette effroyable boucherie commise, sans discernement, par les milices chrétiennes libanaises, téléguidée par la soldatesque israélienne, ivre de colère devant l’échec de leur plan de mainmise sur le Sud Liban, qui faisait partie, il faut le dire,  des territoires  dont l’organisation sioniste cherchait à s’approprier. 

Par la gratuité de sa violence aveugle, cet acte fut comparé en son temps par le Président François Mitterrand à Ouradour sur Glane, du nom d’une opération analogue commise par l‘armée allemande à l’encontre des habitants de la bourgade française en guise de représailles à l’assassinat de soldats allemands en France.
Si cette violence laisse perplexe et donne comme justificatif l’assassinat de Bachir Gemayel, fraîchement élu à la Présidence.  Néanmoins peut-on exclure que cet assassinat ait pu être organise par les services secrets israélien, qui avaient tout à gagner à déstabiliser le pays ? Et qui apparemment, Israël n’a pas renoncée


 










Le sionisme est un animal qui a la rage 
Pour le bien de tous ceux qui
lui apportent leur soutient
mieux vaudrait l'abattre. 

Comment a-t-on pu croire que 
le sionisme pouvait sauver 
ou venger les rescapés du 
Génocide Juif !
Prenant comme prétexte, sans cesse répété "Plus jamais ça"  au mémorial de Yad Vashem et en leur mémoire, commettent les mêmes crimes !

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