mardi 20 août 2013

Égypte : le nouveau pharaon inflexible



Le Point.fr - Publié le 19/08/2013 à 07:09 - Modifié le 19/08/2013 à 10:48

Le Point, mais cela pourrait être le cas de presque tous les médias occidentaux, diffuse là de la propagande pro occidentale, diabolisant les islamistes, donc l'Islam, fait de la manipulation pro israélienne. La pensée unique voulue universelle par le sionisme, celle qui  veut que l'islamisme soit assimilé au terrorisme. Tous les apostats de la terre crient sus au terrorisme, inconscient qu'ils sont, que l'hégémonie (occidentale) est le plus pur des terrorismes. 
La déstabilisation des pays qui n'adhèrent ou qui ne cautionnent pas la politique globaliste et plus précisément américano-sioniste, poursuit deux buts:
·        Œuvrer à la sauve garde de l’état illégal qu'est Israël.*
·        Imposer l'idéologie occidentale, sous des aspects religieux ou ethniques.  
Mais enfin, sommes-nous si stupides que ça ? N'avons-nous pas d'intelligence propre ? Ce que l'armée égyptienne à fait là, est, ni plus ni moins, qu'un coup d’état militaire, comme l'on fait toutes les armées du monde pour y installer une dictature, plus ou moins dure. Coup d’état fomenté et financé par la CIA. Le chantage que les USA exercent sur l'armée égyptienne porte, simplement, sur la suppression  des subsides que l'Amérique* alloue à l’Égypte, dont l'armée capte la quasi totalité. Ce général, présenté comme le "sauveur", n'est qu'un vulgaire pirate traitre à son pays qui pour sauvegarder ses intérêts personnels ou ceux de sa caste destitue un homme pourtant élu démocratiquement. Élection n'ayant souffert d'aucune irrégularité. Qui somme-nous (Occident) pour dire aux Égyptiens, Syriens, Palestiniens, Irakiens [...] dans quelle société ils doivent vivre! Leur radicalisme, qu'ils soit religieux ou politique ou même les deux, ne représente que le refus de la politique que nous leur imposons.
Qui tire profit de la politique que l'Occident mène au Proche et Moyen-Orient et des subsides que les pauvres américains versent à ces escrocs? Des êtres cupides, traites à leur pays (Zine el-Abidine Ben Ali ; Mohammed Hosni Moubarak...) et en définitive Israël. Qui entre-nous soit dit dicte la politique que l'Amérique doit avoir, par l'influence du lobby juif en Amérique et surtout de ses capitaux. Capitaux que les américains remboursent en armes, technologie militaire et en financement de l’état d'Israël. Sont-ils aussi stupides que nous, je ne le pense pas ils sont simplement ignorants des tenants et des aboutissants de la politique américaine en rapport avec Israël.    

* Les USA, après le 11 septembre 2001 ont mis sur pied une association pour promouvoir et financer la démocratie dans le monde, dans les faits, ce que fait cette association, finance et arme, via la CIA, les oppositions des pays s'opposant ou n'agréant pas la politique américaine et particulièrement celle d'Israël. Le sionisme fomentant les guerres par l'intermédiaire des USA, place les Juifs sur le pinacle où les plus justes d'entre eux devront à nouveau souffrit les affres de la persécution..., mais comment faire autrement? On ne peut pas, pour des raisons idéologiques: tuer, emprisonner, asservir autant de populations que le fait Israël.  

Le chef de l'armée égyptienne, le général Abdel Fattah al-Sissi, a promis aux islamistes qui ont choisi la violence une riposte "des plus énergique".

Même un apprenti morphologiste affirmerait : "L'hypocrisie est inscrite sur son visage"

Après les violences qui ont fait près de 800 morts en Égypte en cinq jours, le chef de la toute-puissante armée et nouvel homme fort du pays a juré que l'Égypte ne "cèdera(it)" pas face à la "violence" des islamistes, tandis que les représentants des 28 États membres de l'UE devaient se réunir lundi à Bruxelles pour se pencher sur la crise égyptienne. Le chef de l'armée, le général Abdel Fattah al-Sissi, qui s'exprimait pour la première fois dimanche depuis le carnage de mercredi (600 morts) devant des centaines d'officiers de l'armée et de la police, a promis aux islamistes qui ont choisi la violence une riposte "des plus énergique", sans considération apparente pour le tollé déclenché dans les pays occidentaux dont certains parlent de "massacres".

Lundi, à Bruxelles, en prélude à une possible réunion des ministres des Affaires étrangères, se tiendra une première rencontre diplomatique de haut niveau pour examiner la situation en Égypte. Dimanche, les dirigeants de l'Union européenne, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, ont averti le gouvernement égyptien que l'UE était prête à "réexaminer" ses relations avec l'Égypte s'il n'était pas mis fin aux violences. Ils estiment que la responsabilité d'un retour au calme incombe à l'armée et au gouvernement.

Geste d'apaisement
Au Caire, dans ce qui apparaît être un geste d'apaisement, le gouvernement a interdit les "comités populaires", ces milices de jeunes armés prenant pour cible tous ceux dont ils pensent qu'ils sont des islamistes - hommes portant la barbe ou femmes intégralement voilées - ainsi que les journalistes étrangers qu'ils accusent de défendre le camp du président Mohamed Morsi, déposé par l'armée. Après les avoir laissés agir pendant des jours, le gouvernement les a accusés dimanche de mener des actions "illégales".

La police égyptienne a aussi annoncé le décès dimanche de 36 détenus islamistes, asphyxiés par du gaz lacrymogène pendant une tentative d'évasion selon la police égyptienne. Ces 36 détenus, tous des Frères musulmans, la confrérie de Mohamed Morsi, ont péri asphyxiés par les grenades de gaz lacrymogène tirées dans le camion qui les transportait dans l'après-midi vers une prison près du Caire, parce qu'ils avaient kidnappé un officier de police et tentaient de s'évader, a affirmé le ministère de l'Intérieur. Le convoi transportait plus de 600 prisonniers islamistes.

Mobilisation en baisse
Les Frères musulmans ont pour leur part révisé à 35 le nombre de prisonniers tués, alors que l'Alliance contre le coup d'État, qui organise les manifestations, avait auparavant dénoncé un "assassinat" et parlé de 52 détenus tués. "Le meurtre de 35 prisonniers, des manifestants anti-coup d'État, confirme la violence intentionnelle visant les opposants au coup d'État et l'assassinat de sang-froid dont ils sont les cibles", indique la confrérie dans un communiqué en anglais. La mobilisation des pro-Morsi a semblé marquer le pas dimanche, les manifestants redoutant sans doute davantage de morts dans leurs rangs décimés depuis cinq jours. Ils avaient annoncé neuf manifestations au Caire, mais les ont quasiment toutes annulées "pour des raisons de sécurité" dans la soirée.

Plus d'un millier de manifestants et cadres des Frères musulmans ont été arrêtés en cinq jours, selon le gouvernement. Le pays était toujours sous état d'urgence et couvre-feu. L'armée bloquait avec ses chars les grands axes de la capitale, tandis que le ministère des Biens religieux a annoncé que les mosquées seraient désormais fermées en dehors des heures de prières, tentant ainsi d'éviter les rassemblements. Les pro-Morsi avaient appelé samedi à une semaine de manifestations, mais ils ne sont pas parvenus à mobiliser depuis, seuls quelques groupes de manifestants ayant bravé le couvre-feu.

Deux camps irréconciliables
Depuis que l'armée a destitué et arrêté le président Morsi, le 3 juillet, l'Égypte est ensanglantée par des scènes de guerre inédites et divisée en deux camps qui semblent désormais irréconciliables : d'une part les Frères musulmans et de l'autre les partisans de la solution sécuritaire de l'armée, qui l'a emporté sur les rares voix prônant le dialogue au sein des nouvelles autorités. Les violences ont atteint un niveau jamais égalé dans le pays, où les forces de l'ordre ont désormais l'autorisation d'ouvrir le feu sur les manifestants violents : mercredi, journée la plus meurtrière de l'histoire récente de l'Égypte, environ 600 personnes avaient péri, notamment dans la dispersion de deux sit-in pro-Morsi au Caire.
Deux jours plus tard, lors du "vendredi de la colère", 173 personnes ont été tuées, en majorité des manifestants. Au total, 70 policiers ont trouvé la mort en cinq jours dans ces violences. Le pouvoir répète qu'il "combat le terrorisme" des Frères musulmans, la confrérie qui avait remporté haut la main les législatives de début 2012, un an après la révolte populaire ayant provoqué la chute d'Hosni Moubarak. Alors que les télévisions publiques comme privées affichent désormais en permanence le logo "l'Égypte combat le terrorisme", en anglais à destination de la communauté internationale, et que la presse, unanime, dénonce un "complot terroriste" des Frères musulmans, le gouvernement continue d'assurer que les membres de la confrérie pourront participer au processus de transition prévoyant des élections début 2014, à l'exclusion de ceux qui ont "du sang sur les mains".
Embarras international
Les principaux dirigeants des Frères, dont leur guide suprême en fuite Mohamed Badie, seront jugés à partir du 25 août pour "incitation au meurtre". Londres et l'ONU ont dénoncé un "usage excessif de la force", alors que Berlin a appelé au "dialogue" pour éviter la "guerre civile", la chancelière Angela Merkel estimant qu'un arrêt des livraisons d'armes était un moyen de pression approprié. Des sénateurs américains, dont l'influent républicain John McCain, ont demandé que les États-Unis suspendent la substantielle assistance militaire - 1,3 milliard de dollars par an - à l'Égypte après le "massacre".
En revanche, l'Autorité palestinienne, la Jordanie, l'Irak et surtout Riyad ont affirmé soutenir le pouvoir égyptien. Le Qatar, principal soutien des Frères musulmans, a dit aider l'Égypte et non la confrérie, affirmant vouloir corriger des "conceptions erronées". À l'issue d'une année de présidence, Mohamed Morsi était accusé par ses détracteurs et des millions de manifestants d'avoir accaparé le pouvoir au profit des islamistes radicaux et achevé de ruiner une économie déjà exsangue.


Nous sommes le dimanche 25/08: Les médias parlent d'Hosni Moubarak comme de quelqu'un de finalement très acceptable et du procés des Freres Musulmans, parlent de l'ex Président déchu alors qu'il à été renversé par un coup d’état militaire. Cet Occident là est à l'origine de les maux  de cette terre, il n'y a pas de régime politique parfait, c'est une évidence, mais vouloir imposer son idéologie en fomentant des conflits, seul les escrocs occidentaux pouvaient le faire.
En Tunisie, la "rue"  demande la démission du Gouvernement islamiste élu. 
Mais au-delà quel être inintelligent peut douter de "l’intelligence" exercée par le sionisme via la CIA et les USA. L'Europe, comme toujours, n'est que le faire valoir de ces escrocs de la condition humaine. Seul  les véritables bénéficiaires du système et les cons peuvent encore aujourd'hui abonder dans le sens de cet Occident va-t-en-guerre, manipulateur, criminel [...] à l'origine du mal être sur terre. La démocratie ne peut s'imposer par les armes ou la fourberie, elle ne peut qui'être pries en exemple et l'exemple que l'Occident donne ne peut qu'engendrer le dégout et la rébellion contre tous ceux qui pensent ^être sur terre pour amasser des richesses volées ou escroqués à ceux qui, à la sueur de leur front, ont transpiré pour les gagner. la finance quelle soit juive ou non est la principale cause de ce désordre.  




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