dimanche 29 avril 2018

Jacques Dérida l'avait vulgarisé, Macron le fait.




Avec le "macronisme" c'est la DÉCONSTRUCTION de la SOCIÉTÉ ; du SOCIAL ; de la NATION, visant a "coller" au plus près de l'idéologie LIBÉRALE.  À ne pas confondre avec la LIBERTÉ  de la société, du social et de la nation.

En matière de pompier pyromane on ne fait pas mieux...
Un Président n'a pas à faire preuve d'un comportement décomplexé, mais à expliquer  le bien fondé de son action, à démontrer le bénéfice qu'elle peut apporter. 

L'agitation tous azimuts de ce Gouvernement, jette une nappe de brouillard sur ses réelles intentions et sur l'avenir de la SOCIETE ; du  SOCIAL ;  de la NATION. Et nous disent en substance qu'ils ont été élus pour cela, c'est un mensonge éhonté, puisque pendant sa campagne Macron ne s'est jamais étendu sur ses propositions. Il a "péché" à chaque fois les bonnes idées des uns et des autres. 

Trop de  mesures éparses, laissent les réelles priorités sur le seuil de la porte.
La première des mesures aurait du être la diminution des dépenses de l'Etat, la diminution du nombre de parlementaires. Et qu'est-ce que Macron nous propose:
Une éventuelle diminution de ces législateurs, mais une augmentation de leurs revenus! Un coup d'épée dans l'eau A grands renforts de publicité les médias nous annoncent: que les macron payent leur électricité et trouvent logique qu'il aille avec sa smala, faire des bises à l'autre membre des pieds nickelés et a ce que je sache, ils n'y ont pas été en vélo électrique… 
Combien a coûtée le bombardement sur la Syrie? Combien a coûté la fourniture d'armes aux rebelles et aux terroristes? 
L'économie d'électricité doit compenser! 

Cet homme se comporte comme un dictateur (la démocratie étant pour et par le Peuple) avec la complaisance des médias et de cette intelligentsia écoeurante qui cautionne la guerre et maraude les richesses des pays émergents.  

La seule priorité de cet homme est de mettre la France sur les rails du LIBERALISME,  comme Dominique Strauss-Kahn la mit sur celui de la DETTE  et Georges Pompidou sur celui de la FINANCE.


Si nous étions dirigés par des gens plus intelligents qu'idéologues, ils tiendraient compte des expériences du rail d'autres pays, comme la Suède ou l'Angleterre par exemple,  avants d'engager le pays dans des impasses que les populations ne veulent pas.

On voit bien que les arguments du gouvernements sont pièges a cons. En effet: le Statut du cheminot, sur lequel ce gouvernement a basé sa communication est l'alter ego des Conventions collectives des autres  corps de métier.   Dans ces conditions où est le problème? C'est donc un système malhonnête. Et ce n'est pas les vociférations patriotiques ou/et l’arrogance affichées qui nous impressionnent.  

Mais enfin, réveillez-vous ... 




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